Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (25)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous avons décollé de Malaga avec Eduardo, notre pilote dans un hélicoptère.
Voulant faire diversion, je dis, tiens des orangers.
Il retire sa main, regarde où nous sommes et nous dit, oui on vient de survoler la ville de Coin et nous sommes dans une vallée ou lon cultive les oranges et les citrons.
Attendez, je vais descendre.
Nous risquons dêtre en retard.
Non, le commanditaire de mon vol ma demandé à vous faire découvrir les merveilles dune partie de lAndalousie.
Il reprend le contrôle de lappareil, et le fait tourner à gauche.
Et vlan, je suis projeté vers Eduardo.
Je veux me retenir avec ma main. Elle atterrit sur son sexe sans le faire volontairement.
Pas si vite ma belle, on va atterrir, tu sembles très pressée.
Séverine qui a été projetée sur moi éclate de rire.
Moi qui vous ai prouvé quelle salope, je pouvais être, je suis rouge de honte.
Nous survolons, les dizaines dhectares dorangers.
Des personnes travaillent à la cueillette des agrumes.
Eduardo repère un champ où il peut nous poser.
Il atterrit et coupe les rotors.
Les palles font encore quelques tours et sarrêtent, nous pouvons descendre.
Eduardo ouvre sa porte et saute à terre.
Il va dans un compartiment et arrive de notre côté et nous place un petit marchepied pour nous faciliter de retrouver la terre ferme.
Il aide Séverine en lui prenant la main. Nul doute, quune fois de plus elle a fait ce quil fallait pour lui monter sa chatte.
Je me glisse, pour descendre Eduardo att ma main toujours serviable. Un sourire illumine son visage. Il a une deuxième fois une vision agréable.
Avant de me poser des questions, Séverine sort de son sac ma laisse rouge.
Prestement elle lattache à mon anneau.
Acceptes-tu dêtre notre esclave ?.
Sans hésiter, dailleurs en ai-je le droit, ou en ai-je lenvie.
Oui bien sur.
Enlève tes chaussures.
Elle a raison, des talons aiguilles dans une prairie même petite, rend les déplacements impossibles.
Eduardo nous regarde médusés.
Viens me cueillir des oranges mon amour.
Oui, maîtresse, je vais le faire.
Je commence à prendre le chemin vers les orangers qui sont à quelques mètres de nous.
Attends !
Elle essaye denlever ses chaussures mais manque de partir les fesses en lair.
Séverine tend la laisse à notre mâle.
Veux-tu quil te conduise ?
Sûr que je le veux, il est si beau notre Andalou.
Je repars tenue par notre ami.
Je pense que de sa vie de pilote jamais il na vécu une telle expérience et jamais il nen revivra une identique.
Lorsque nous sommes à lombre des arbres, plutôt des arbrisseaux, les orangers mesurant à vue dil deux à trois mètres. Sans lâcher ma laisse, Eduardo, cueille une orange.
Il sort de sa poche un couteau et nous la coupe en deux.
Mets ta tête en arrière.
Je reste sans bouger.
Cest bien Séverine, tu es une bonne esclave, tu sais que tu dois répondre quà ton maître. Mets la tête en arrière.
Je mexécute.
Amusé, il presse lorange dans ma bouche, le jus ruisselle dans ma gorge et un peu sur mes joues.
Il fait de même avec Séverine qui apprécie ce nectar de fruits.
Ma biche sort la bite dEduardo et suce-le.
Aussitôt dit aussitôt fait, je sors un dard de fort belle taille.
Je baisse son pantalon et je constate quil doit se faire bronzer intégral, aucune trace de maillot.
Assez, fine et très longue un modèle pas encore vu et eu.
Lorsquil bande, elle lui tend une capuche quil enfile.
Relève ta mini, rends-lui sa bite et mais toi en levrette.
Je mexécute.
Eduardo vient menfiler, cette chienne sera bonne pour attendre.
Il se place et lemmanche. Tous de suite elle couinent. La grosseur ne peut être la cause de sa surprise mais sa longueur.
Sa verge en touchant le fond de sa grotte la fait couiner.
Vas-y baisses moi avant de prendre cette salope !
Tu verras quand tu la bourreras comme tu me bourres, elle en redemandera. Cest une vraie salope
Ce dernier mot finissant dans un râle.
Si je suis une salope, toi tu es une pute, te garder ce mandrin sans partager, ce sont les putes qui font ça.
Mais ma petite esclave se rebiffe, elle va
Va dans un autre râle.
Va recevoir la punition quelle mérite.
À peine à tel fini ce dernier mot, quelle crie sa jouissance.
Eduardooooo.
Prends-la une fois dans la chatte une fois dans le cul !
Elle a voulu se rebeller, elle va te sentir passer.
Il se déplace et contrairement à lordre de Séverine, il me pénètre en douceur.
Il menfile dans le cul, toujours avec beaucoup de prévenance.
Il va dans un trou puis dans lautre de plus en plus rapidement.
Putain, quel bon baiseur, jai bien fait de venir.
Au bout de quelques minutes de ce traitement.
Tes trous sont bien humides, tu mouilles.
Quelques secondes après plein dhumour.
Tu prends ton pied, allez envol toi au septième ciel.
Limmonde phallocrate, il maura fait la totale.
Continue, tu vas atteindre le septième ciel.
Retire-toi avant que ton sperme soit en elle, vient nous le faire avaler.
Il nous contourne, présente son sexe à nos bouches, se masturbe et nous envoie de longs bons jets de foutre au fond de nos gorges.
Jembrasse Séverine à pleine bouche, récupérant une partie de la semence pas encore avalée.
Nous nous relevons, elle menlève ma laisse.
Grâce à vous jai vécu une expérience que peu dhommes ont vécue.
Il nous att une autre orange et nous presse le jus en bouche.
Avant de retourner à lhélico, il en cueille encore une dizaine quil emporte avec lui.
Il les met dans un sac.
Ce sera pour vous en souvenir.
Il sort un jerrican deau, nous nous rafraîchissons et nous rajustons nos vêtements.
Nous reprenons nos places, nous décollons.
Avant de quitter le secteur des orangeraies, ce qui me frappe, ce sont les fermes entièrement blanches. Elles sont complètement isolées lune par rapport à lautre.
Eduardo nous dit que nous nous dirigeons vers la côte et la ville de Marbella.
LAndalousie vue du ciel est une province espagnole magnifique.
Dun seul coup au loin, nous apercevons Méditerranée.
À proximité de Marbella, ce qui nous frappe, ce sont les immeubles. Tout le long de la cote, ils sont en rang serré.
Nous survolons Marbella. Les plages immenses couvertes de fourmis, à non, ce sont des hommes et femmes qui se baignent dans ces eaux turquoise.
Nous virons de nouveau sur la droite pour remonter vers notre destination finale Ronda.
Rapidement le paysage change. La vallée puis la mer font place à des collines rouges comme mon collier.
A mis hauteur, une route serpente le long de la paroi.
Le vide en dessous est impressionnant. Jaurai peur de rouler sur ces aplombs.
Ronda soffre a nous.
Eduardo pose son hélico, nous sommes arrivés à destination.
Il nous confie à un chauffeur de taxi pour quil nous conduise à notre hôtel.
Nous prenons possession de nos chambres. Tien elles sont séparées par une autre.
Ma chambre possède une porte de communication. Je tourne la poigner. Elle est fermée.
Je vais à la fenêtre, ma vue est magnifique, nous donnons au-dessus de la gorge de Ronda. En bas une rivière coule.
Séverine sort sur son balcon.
Elle a le dos tourné, je lappelle, elle se retourne et me sourit.
Que cest beau.
Tu as vu cette belle rivière au bas de la gorge.
Oui, jai remarqué en posant mes affaires une brochure sur lHôtel, il sagit de la rivière Guadalevin.
Dommage que nous soyons séparés.
Jai un lit à deux places, viens me rejoindre.
Elle arrive avec sa valise.
Il est midi. Prépare-toi, nous sortons déjeuner.
Je me déshabille et je vais prendre une douche. Ce nest pas du luxe après lépisode dans les orangers.
Quelle est belle, et si nous restions dans la chambre
Non, jai trop faim et il faut être en forme pour ce soir. Nous descendons dans le hall.
Je demande au chauffeur de nous faire visiter la ville. Il parle un peu français,
Il nous fait voir les jardins de Cuenca. Le vieux Pont Arabe. La Fontaine des huit jets. Les bains Arabes. Les murailles et les portes de lAlmocabar.
Sans parler du nombres déglises et couvents quil nous fait découvrir.
Nous finissons aux arènes.
Je fais énormément de photos afin de les montrer à tous nos amis.
Depuis mes différents voyages avec Virginie, jai commencé un album photo..
Plusieurs restaurants entourent ces arènes. Nous quittons notre chauffeur en le remerciant.
Nous prenons place sur une terrasse face aux arènes.
Un panneau publicitaire, annonce
Grandiosa Corrida de Toros
6 Bravos
Matador El Cidero.
17 h 30.
Que penses-tu de la corrida Séverine ?
Jen ai vu à la télé, il y a quelques années, jai bien aimé les couleurs, la passion du public.
À part cela, aucun avis tranché.
Moi, jamais je nai vu de corrida de ma vie, je suis sûr que jaimerais assister à un tel spectacle.
Dommage, il y a, une corrida ce soir mais nous manquons de billet et un contrat à honorer à partir de seize heures.
Nous flânons sur cette terrasse jusquà quatorze heures trente.
Nous rejoignons notre hôtel pour nous préparer.
Pour une fois, la consigne est facile à suivre. Tenue décontractée.
À seize heures comme prévu, nous entrons au bar de lhôtel.
Un couple est seul présent dans le bar.
Couple denviron quarante ans. Lhomme grand est très fin. Madame, première classe même dans sa tenue légère.
Ils se présentent.
Julietta, mon épouse. Pedro chargé daffaire à la province Andalouse.
Je me présente.
Magali et Séverine mon amie.
Ils nous demandent si nous sommes satisfaits de nos appartements.
La vue est magnifique sur la gorge de Ronda.
Jajoute que je suis resté en retrait sans aller au bord du balcon, jai tendance à avoir le vertige et la hauteur de la paroi rocheuse sous nos fenêtres ma impressionné.
Nous nous installons au bar et commençons à converser.
Avez-vous apprécié le voyage en hélicoptère ?
Séverine le remercie car pour elle, ce voyage au-dessus dune partie de lAndalousie était passionnant, jai apprécié les orangés immenses à perte de vue.
La dégustation dorange lorsque le pilote sest posé.
Dans ma tête, jajoute, mais ne le dit pas, « la queue de ce beau pilote andalou au fond de nos chattes ».
Enfin, après avoir survolé Marbella et les montagnes près de Ronda avec la route impressionnante à flanc de montagne.
Eduardo, le pilote a été prévenant avec vous.
La situation de mon mari me permet de le solliciter de temps en temps, jai toujours aimé sa prévenance envers moi.
Tiens, elle aussi a tâté de la queue du monsieur. Si cest le cas, elle a bien raison.
Pedro signale que demain, le pilote nous attendra pour le retour à Malaga à dix heures à lendroit où il nous a déposé ce matin.
À quelle heure est votre avion ?
Seize heures.
Quallez-vous faire en attendant ?
Jai regardé sur Internet, les points dintérêt à Ronda et surtout Malaga, tout parle du palais de lAlcazar.
Ce site disait que pour les particuliers, il était difficile dentrer, car les tours opérateurs réservaient des places, il était impossible pour les autres sauf désistement, il fallait attendre des heures le droit de visiter.
Pedro sexcuse et séclipse quelques secondes. Il revient et nous dit.
Eduardo à votre arrivée mettra un taxi à votre disposition.
Le taxi vous conduira à lAlcazar ou au guichet dentrée, des tickets vous sera remis. Vous pourrez visiter cette merveille construite entre le XIème et le XIVe siècle qui servait de forteresse et de palais, où vivaient les gouverneurs de la Malaga musulmane.
Attends-lui dit Julietta, demain je nai rien de prévu. Je prendrai lhélico avec elle et je les accompagnerais pour visiter ce Palais dont je pourrais leur raconter lhistoire.
Vu que tu fais partie de conseil dadministration de la province. Je nai aucun mal à entrer.
Est-ce le palais qui la passionne ou le bel Eduardo, lavenir nous le dira.
Bonne idée ma chérie.
Tu pourras aussi les accompagner à lavion pour Paris et ainsi leur éviter toutes les formalités.
Pedro nous demande de nous mettre en mouvement si nous voulons éviter dêtre en retard.
Sa voiture avec chauffeur nous attend devant lhôtel. La voiture est spacieuse, nous montons tous les quatre a larrière.
Pedro gentleman sassoit sur le strapontin.
Quelques minutes et nous nous arrêtons devant lentrée principale des arènes.
Aimez-vous, les corridas ?
Vous allez voir comme le monde est petit, à midi après une visite de la ville en taxi, nous avons déjeuné au restaurant face aux arènes. Nous avons vu laffiche et avons regretté dêtre sans place.
Pedro est aux anges.
Tu vois, jai eu raison au moment de passer le contrat avec nos amies, déviter den parler pour leur faire une surprise.
Julietta nous prend toutes les deux par le bras de chaque côté. Elle nous caresse furtivement le sein au passage.
Ce simple frôlement rapide électrise mon corps. Aurait elle un fluide quelle sera capable de nous transmettre.
Les portes souvrent devant nous. Un officiel nous conduit vers la tribune dhonneur.
La foule est déjà importante. Le bruit, les chants, fusent de partout.
Lofficielle nous installe dans la loge à la droite dun homme qui semble important dans la corrida. Séverine voit, mon intérêt pour ce personnage se penche et me dit, cest le Président de cette corrida, il est le seul juge avec le public des décisions quil y aura à prendre.
Julietta placée entre nous lui dit,
Cest bien ma petite Séverine, je vois que vous êtes connaisseuse.
Mon amie manque de courage de lui expliquer que ses seules connaissances sont celles quelle a vues à la télé française.
Je porte ma main à mes yeux pour voir le centre de larène, le soleil est dans laxe de mes yeux.
Notre amie voyant le geste, appel un officiel placé au bout de notre tribune, elle lui parle à loreille et quelques minutes après trois visières lui sont apportées.
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